EMMANUEL DESFOURNEAUX
             
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Origines

Emmanuel Desfourneaux est issu d’une lignée marquée par le destin croisé et historique entre la France et l’Afrique.

            Cela commença avec son homonyme, le général Edme Etienne Borne Desfourneaux et gouverneur de la Guadeloupe.

            Un peu plus d’un siècle plus tard, c’est au tour du jeune saint syrien – son grand-père paternel le lieutenant Raymond Desfourneaux – de s’illustrer en juin 1940 à l’occasion de la bataille de France. A la tête d’une unité de tirailleurs sénégalais (14ème RTS), il remplit sa mission jusqu’à donner sa vie pour sa patrie et les valeurs républicaines. C’est en se portant au secours de certains de ses hommes isolés qu’il fut frappé par une balle en plein front. Ses soldats montèrent une garde pieuse de son corps en témoignage de sa bravoure alors que les combats faisaient toujours rage. A titre posthume, il reçut la distinction de Chevalier de la légion d’honneur.

            Récit du Capitaine Mablard, le 10 décembre 1940 à l’attention de la  grand-mère paternelle d’Emmanuel Desfourneaux, maîtresse d’école au Maroc pendant la période du protectorat :

« En ligne avec lui du 16 mai au 10 juin alors que le lieutenant Desfourneaux commandait une section de mitrailleurs, je l’ai vu s’affirmer en vrai chef. Son courage, sa farouche énergie, sa puissance physique indomptable, sa bonne volonté le firent admirer de ses chefs et ses hommes. Devenu le chef d’un fort détachement, il faisait oublier leurs souffrances à ses hommes qui ne mangeaient guère et ne dormaient plus ; les groupaient autour de lui pour les réconforter et les aider. Il réussissait ainsi à conserver son unité intacte au milieu des dures épreuves qu’elle subissait. C’est en partant vers un nouveau point menacé, seul, pour prendre en main les hommes chargés de sa défense qu’une balle le frappa de plein front. Fous de la mort de leur chef, ses hommes, français et sénégalais, la vengèrent en détruisant dans un élan irrésistible les quelques éléments d’infanterie qui avaient réussi à traverser le fleuve. »

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Activisme culturel

Il est évident que le phénomène des courtisans est partagé par toutes les Cours des hémisphères du Nord et du Sud. Dès lors que d’aucuns souhaitent s’attirer les faveurs du « monarque », tous les moyens sont bons pour y parvenir. Quitte à s’allier avec son ennemi ! Quitte à déformer la vérité ! Quitte à s’approprier une éthique imaginaire !

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